A peine quatre ans après la légalisation de l’euthanasie au Québec, son élargissement est déjà revendiqué en des termes très controversés.
« Pourrions-nous, pour des raisons environnementales, sociales et économiques, décider que nous voulons recevoir l’aide à mourir pour ne pas constituer un fardeau pour notre famille et la société en général ? » s’interroge Luc Ferrandez, ex-politicien. Terrible question qui en dit long sur les glissements potentiels de la loi.
« Je me demande comment ne pas voir dans cette simple possibilité le basculement de notre société dans un univers démentiel. » répond le philosophe Bock-Côté dans une tribune à lire.