Dernières actualités bioéthiques
La Marche pour la vie appelle à la mobilisation le dimanche 22 janvier
La Marche pour la vie appelle à la mobilisation et donne rendez-vous à Paris le dimanche 22 janvier 2021 à 14h à...
L’aide active à mourir au menu de la 3e session de la Convention citoyenne
Du vendredi 6 au dimanche 8 janvier, la Convention citoyenne sur la fin de vie s’est réunie pour sa troisième session,...
Urgence pour l’hôpital
Dégradation des hôpitaux français A l'occasion des cérémonies de vœux, E. Macron s'est adressé dans un long...
Prendre soin des soignants, une urgence de santé publique
Au début de cette nouvelle année, la situation des professionnels comme celle du système de santé reste préoccupante....
Le suicide assisté non reconnu par le droit européen
Suicide assisté : le Conseil d'Etat déboute une nouvelle demande de l'association Dignitas Nouvelle tentative par...
Estimation et analyse des demandes d’euthanasie en France
Quelle est la réalité chiffrée de la demande persistante d’euthanasie en France hors et au sein des services de soins palliatifs ?
Quelles sont les raisons et les motivations dans une demande d’euthanasie ?
Quelques études menées en milieu hospitalier sur les demandes d’euthanasie apportent un éclairage sur les raisons et les motivations des patients. Ces études ont permis d’estimer le faible nombre des demandes initiales formulées par des patients (entre 0.7 et 3%), ainsi que leur persistance encore plus faible (0.3% selon une des études).
Session #2 : La Convention citoyenne sur la fin de vie à l’écoute des acteurs de terrain
Après une table ronde consacrée aux représentants des cultes, les membres de la Convention citoyenne sur la fin de vie ont assisté, au deuxième jour de cette session 2, à des tables rondes de soignants et bénévoles qui ont témoigné de leur expérience de terrain auprès des malades.
Euthanasie : extension continue au Canada et au Québec
Après avoir étendu l’accès à l’euthanasie aux personnes dont la mort naturelle n’est pas « raisonnablement prévisible » à peine 5 ans après la première loi votée en 2016, le Canada entend organiser son accès aux personnes ayant une maladie mentale à partir du 17 mars 2023.