La médecine elle-même est devenue otage du désir, en lien d’ailleurs, avec la redéfinition de la santé par l’OMS en 1946 : “la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en l’absence de maladie et d’infirmité.”
Les paradoxes de la bioéthique – Caroline Roux
Qu’il s’agisse de fertilité, de sexualité, d’accueil du handicap, de l’embryon humain, de la fin de vie ou de la...