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- ce qui se fait déjà ailleurs,
- ce qui se propose déjà en France, en toute impunité,
- et ce qui pourrait se faire demain, en toute légalité…
Lorsque la loi ne la régule pas, les nouvelles techniques ne cessent d’ouvrir de nouveaux marchés, créant une surenchère de demande : vente de gamètes, location de ventres, optimisation des êtres humains, bébés sur commande, systématisation du DPN et du DPI, FIV 3 parents, embryon OGM, gamètes artificiels, auto-engendrement etc.
Que le marché de la procréation soit libéral – dicté par la recherche des profits – ou étatique – contrôlé par l’Etat – il porte en lui-même des germes de totalitarisme et d’eugénisme. Car l’enfant-produit comme l’homme producteur de gamètes ou la femme productrice d’enfant sont traités comme des choses ou des machines.
Les Etats généraux de la bioéthique ont permis de mesurer combien les citoyens qui s’intéressent à ces questions sont hostiles à l’instauration d’un « droit à l’enfant » et à l’eugénisme induit par les nouvelles techniques procréatives. Emmanuel Macron ne peut pas l’ignorer.
Le showroom clandestin d’Alliance VITA constitue « le dernier appel au président de la République avant mobilisation générale ».
- protège son principe de non-marchandisation du corps et des éléments du corps humain
- défende partout dans le monde la dignité de la personne humaine contre le marché ultra-libéral dérégulé des êtres humains.